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Alimentation saine pour tous ( Liège 8 juin )

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Nous y serons avec le Champ de l’Etre toute la matinée!! Infos sur l’alimentation végétale, recettes, ateliers à venir… nous répondrons à toutes vos questions! 🙂

jeudi 8 juin à 9:00 – 23:00

Le plan de Cohésion Sociale de la Ville de Liège et ses partenaires vous invitent à la journée « Alimentation saine pour tous »

Au cours de cette journée, rencontres, conférences, ateliers, repas sain à prix démocratique, projection du film « Demain » et concert au profit du Resto du Coeur de Liège seront réunis pour approcher la question de l’alimentation saine via différents prismes et à travers des professionnels de la question de divers secteurs.

– Inscription obligatoire avant le 19 mai via le formulaire ci-dessous –

–> Programme complet et inscriptions : cliquez ici

Place Xavier Neujean, 4000 Liège, Belgique

Végétik à la Journée de l’Environnement de Bruxelles

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Pour la 4ème année consécutive, Végétik tiendra un stand à la Journée de l’Environnement à Bruxelles.

Cette année, nous vous réservons une nouveauté : nous vous proposerons de tester les animations virtuelles 360° d’ iAnimals, avec qui nous venons de nous associer pour l’usage des programmes visuels.

Quoi: Journée de l’environnement à Bruxelles
Où: Parc du Cinquantenaire (arrêt Mérode)
Quand: dimanche 04 juin
Heure: de 11h à 19h

N’hésitez pas à venir nous dire bonjour :).

A très bientôt!

Elodie d’Halluweyn

Végétikement,

Végétik Bruxelles

Le pari fou d’un végane , traverser l’Europe du nord au sud en courant

Ralph Macedo Mesquita, vous êtes un coureur de longue distance. Vous vous êtes lancé un défi très impressionnant : vous allez tenter de traverser l’Europe du Nord au Sud en courant.
Comment avez-vous fixé cet objectif et pourquoi?

L’idée m’est venue à l’esprit parce que l’année passée, plusieurs américains essayaient de battre leur record de course à pied de ‘coast to coast’. C’est une course qui fait 4800km plus ou moins. Traversant les USA de la côte de Californie jusqu’à 15027653_10202203397922264_763471121364220010_nNew York. Et je voyais que plusieurs personnes tentaient de le faire et toujours pour une cause. Je voyais l’enthousiasme derrière les américains et comme c’était beau. Du coup je me suis dit ‘ et si on faisait quelque chose dans le même genre ici en Europe ? Je suis sûr que si on mettait une cause à cette course on pourrait récolter de l’argent et sensibiliser les gens. C’est donc de cette façon que j’ai commencé à méditer sur le projet. La cause m’est venue directement à l’esprit parce que l’obésité est une maladie qui n’arrête pas de progresser. Un quart des enfants entre 6 et 9 ans sont obèses. C’est aussi quelque chose qui a touché ma famille personnellement. Ma grand mère est morte de complications liées à l’obésité morbide quand j’avais 16 ans. Moi-même je n’ai jamais été obèse mais toujours en surpoids. Jusqu’à ce que je décide de reprendre ma santé en main il y a quelques années. 

Vous êtes végane depuis 1 an. Avez-vous remarqué une différence dans votre performance?

Effectivement j’ai changé de régime depuis un an maintenant. J’ai commencé en étant végétarien et à ce moment là je n’ai pas senti une énorme différence. Par contre, c’est en arrêtant tous les produits laitiers que j’ai vraiment senti une différence dans ma performance. Je me voyais capable d’enchaîner des jours et des jours d’entraînement sans avoir de courbatures. Mon temps de récupération s’est réduit énormément. Je peux enchaîner des jours et mêmes des semaines sans me reposer vraiment et courir quasi à la même allure.

Que mangez-vous pour garder de telles performances – pendant la préparation et aussi pendant le défi les trois prochains mois?

Mon régime reste relativement simple. Je ne mange pas beaucoup de barres sportives ni de poudres de récupération. Je me base principalement sur de la vraie nourriture dans ma vie de tous les jours. Avec l’entraînement que je fais pour le moment il est très rare que je doive manger pendant l’effort. Généralement je pars pour des séances de 1h30 – 2h à la fois donc je peux me passer de nourriture. Mais je mange beaucoup avant et après. Mes repas restent très simples : le matin un muesli avec un yaourt de soja ou lait d’amande avec quelques tartines de confiture et une banane. Quand je reviens de ma course je me fais un jus avec n’importe quel fruit ou légume que je trouve dans mon frigo. Généralement c’est un jus avec 3 ou 4 fruits et légumes différents. Pour mes grands repas généralement je mange du riz ou des pâtes avec des haricots ou pois-chiches avec encore des légumes différents. A 4h encore du muesli et des tartines et pareil le soir. 

Qu’est-ce qui vous a inspiré pour devenir végane? Recommanderiez-vous le végétalisme à d’autres athlètes?

A la base j’ai décidé de devenir végane à cause de Cowspiracy et le point de vue écologique. J’étais juste affolé par les chiffres. Je me suis dit “O.K essaye ça. si tu vois que t’arrives à tenir alors pourquoi pas ? ”. Je n’ai jamais été plus convaincu de ma décision. Niveau santé, il est clair que je me sens beaucoup mieux. Non pas parce que je me sentais particulièrement mal avant mais parce que je vois que je ne me blesse pas (au moins pour le moment) et je continue à augmenter mes distances d’entraînement toutes les semaines. 148086810594902c68bf0c1363d63e0d9264a044ab

Quel type d’entraînement faut-il pour traverser l’Europe en courant?

Il existe plusieurs types d’entraînement différents pour arriver à faire quelque chose d’aussi grand. Il est parfois même très difficile de se dire que ce qu’on fait c’est le bon entraînement. Mais j’aime beaucoup passer des heures dehors en course à pied. Très pratiquement, je cours beaucoup et beaucoup de fois par jour. En même temps, cette année j’ai pas renouvelé mon abonnement STIB donc au lieu de prendre le métro je vais à l’université ou en stage en courant et je rentre en courant. Le but est d’essayer de courir plusieurs fois par jour. Même quand on n’a pas forcément envie parce que cet été il faudra courir tout le temps. Pour le moment j’enchaine des semaines de 230km voire de 250km. 

Que ferez-vous pour soigner votre corps au cours de ce défi unique et surhumain?

La récupération et l’hygiène restent les points les plus importants d’une course aussi longue. L’hygiène parce que quelque chose peut vite s’empirer si on le néglige. Une petite plaie au pied peut vite s’infecter si elle reste non traitée par exemple. La récupération est un autre point clé. Savoir enchaîner beaucoup de jours sans s’arrêter sera principalement possible grâce à la récupération d’un jour à l’autre. Et principalement la nutrition. Manger assez de calories par jour sera primordial. Étant végane, c’est à la fois facile et difficile. Du riz et des haricots en boite ne sont pas compliqués à obtenir en quantité. Mais des fruits et des légumes sont toujours plus difficiles à trouver dans certains endroits. Ce sera une balance entre légumes frais et boîtes de conserves qui seront utilisés.

Quel sera votre ravitaillement?

Pendant les courses j’ai12670884_10208313863591524_5737961392479818603_nme aussi manger beaucoup de trucs sucrés. Des tartines de confitures ou des barres de céréales véganes sont toujours très bonnes. Comme des CLIF bars. 

Qu’est-ce qui vous fait aimer la course, et comment tenez-vous sur les longues distances?

J’adore la course en endurance pour plusieurs raisons. Je trouve que cela permet à une personne de se connaître et donc de se découvrir tout simplement. Il y a un moment pendant la course où toutes nos ‘défenses’ tombent et on commence à découvrir la vrai personnalité de quelqu’un. Et même si après 20h d’effort de suite on n’est plus très lucide, et on n’a pas les mêmes repères de la réalité je trouve qu’à ces moments là la vie devient très simple. Je dois manger, boire, et avancer. C’est tout ce qui est important dans ma vie à ce moment, pendant ma course. Je ne dois rien faire d’autre. C’est assez philosophique comme réponse 😀 

Les personnes peuvent-elles vous rejoindre pendant les courses? Comment?

Exactement et c’est même un des buts du trajet. On veut inviter tout le monde à venir courir avec nous. Si c’est 1km alors très bien, 5km parfait. Ils peuvent même venir toute une journée! En courant, à vélo, ou même en roller. Je ne vais pas courir vite donc qui que ce soit peut venir: je courrai avec ceux qui viennent! 

Pour la suite, quel impact souhaitez-vous que ce challenge ait sur le véganisme, la lutte contre l’obésité et la course?

Sur le véganisme et une course d’une telle ampleur il y a déjà beaucoup de grands coureurs qui sont véganes. Donc je ne ferai qu’accentuer un mouvement déjà en pleine ampleur. Par contre, j’espère pousser les gens à vivre une vie plus saine, à sortir de chez eux et être actifs tous les jours. C’est ça le point le plus important finalement! Si l’équipe et moi arrivons à faire qu’une personne décide de se reprendre en main et non abandonner sa propre lutte contre l’obésité, alors on a tout gagné! 

RM

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Portes ouvertes au Rêve d’Aby le 28 mai

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Refuge pour animaux de ferme et Chevaux

Visite du refuge, rencontre avec nos animaux, stands d’information dont celui de Végétik , idées cadeaux, restauration éthique…

Toute l’équipe se réjouit de vous rencontrer ou de vous revoir !

Où:
Le Rêve d’Aby
Chaussée de Namur 440
5030 Beuzet
Tarif:
Gratuit
Public:
Tous publics
Internet:
http://www.lerevedaby.com
Enregistré par:
Isabelle Bertaggia alerte
Catégorie:
Ventes, Portes Ouvertes, Braderies alerte

Petit tour dans un jardin pacifique, autofertile, et végane situé en Wallonie

Printemps 2017, tout se déroule bien au jardin. Les vivaces disparues l’hiver ressortent, les oiseaux chantent, les bourdons et autres insectes font leur apparition. Mais … le retour des gelées jusqu’à – 3 degrés la nuit en avril est venu perturber tout mon jardin et ses habitants …

J’ai été végétarienne pendant une quinzaine d’années, ensuite, je suis devenue végane il y a 6 ans. Je cultive mon potager de manière  pacifique, autofertile et végane. Je suis une jardinière autodidacte, j’observe, j’expérimente et je remets en question les principes du jardinage traditionnel.

Je cultive fleurs, fruits et légumes au cœur de mon verger d’environ 2500m2 dans la campagne en  Wallonie. Mon jardin est composé entres autres de plusieurs variétés de pommiers, pruniers, cerisiers, et noyers. Il y a aussi des arbustes et buissons à petits fruits: cassis, casseilles, groseillers, groseillers à maquereau, mûriers cultivés et sauvages, et framboisiers. C’est également une belle prairie de graminées et fleurs sauvages.

Je suis passionnée par la faune et la flore qui m’entourent depuis mon enfance et plus particulièrement les insectes et les petits animaux que nous ne voyons pas si nous ne nous rapprochons pas du sol. La vie sauvage fait partieIMG_6855 intégrante de l’équilibre de mon jardin et de mon potager. Je cohabite de manière non-violente, en harmonie avec mon environnement.

C’est sur base de ce principe que je pratique le non-travail du sol (pas de retournement de la terre, pas de labour).  Mon sol n’est jamais à nu. Je composte directement les végétaux sur le sol cultivé, je laisse les plantes finir leur cycle à l’endroit où elles ont grandi. Je cultive le plus possible des anciennes variétés ainsi que des légumes perpétuels. Je ne cultive qu’avec des semences reproductibles (pas d’OGM, pas de F1) que je conserve pour les années suivantes. Je ne pratique pas de rotation de cultures, et bien sûr … je n’utilise aucune matière animale : fumier, sang séché, corne broyée, farine de poisson, … ou de produits chimiques. Je ne pulvérise avec RIEN.

Il n’y a pas au sein de mon jardin de ruche, pas d’insectes élevés ou achetés, ni d’autres animaux d’élevage. Je laisse faire les pollinisateurs sauvages et installe quelques zones refuges pour la faune indigène.

Lorsque j’ai commencé à jardiner, j’ai découvert que tous les moyens de cultiver utilisaient des produits dérivés des abattoirs et contenaient de la matière animale que ce soit en agriculture ou dans le jardinage : traditionnel, biologique, la biodynamie, la permaculture, …  De plus, il est bon de savoir que le fumier bio, cela n’existe pas ! La présence d’animaux d’élevage tels que les poules, les chevaux, moutons, … et même les insectes (des insectes sont élevés, mis en boîte et commercialisés) font aussi partie de ces différents types de pratiques culturales. Pour certains, celles-ci seraient même indispensables. Ces moyens de cultiver perpétuent l’exploitation animale ainsi que la cruauté envers d’autres êtres vivants.

Dans mon jardin, il n’y a pas de « ravageurs », ni de « nuisibles » à « exterminer », « tuer », « éradiquer », ou à « combattre », ni de « mauvaises herbes » à « éliminer ». Ces pratiques socialement acceptables, culturellement admises, et souvent issues de croyances populaires, ne sont pas de mise chez moi.

J’aime mon jardin parce que … je ne veux pas et ne peux pas tout contrôler. Il me surprend toujours.

Un exemple intéressant est la présence de la taupe et du mulot au jardin. Il m’aident à jardiner !

Ils aèrent mon sol (qui est un sol lourd car argileux). La taupe participe même au design de mon jardin puisque par exemple un jour, elle a construit un monticule d’un mètre de diamètre. Lorsqu’elle a semblé avoir fini de l’agrandir, je l’ai utilisé pour planter des oignons. Les galeries de la taupe et du mulot sont aussi des abris ainsi que des lieux de vie pour d’autres animaux : DSCF4753bourdons, musaraignes, grenouilles, crapauds, …

Voici des exemples de légumes et plantes aromatiques cultivés dans mon jardin : blettes à cardes rouges, jaunes, blanches, arroche rouge, oignons rocamboles, céleri livèche, choux noir toscan, choux raves, plusieurs variétés de tomate, plusieurs variétés de pommes de terre, plusieurs variétés de courge, le cresson de jardin, la roquette sauvage, fève de Hangdown, les pois roi des conserves, plusieurs variétés de basilic, plusieurs variétés de sarriette, de thym, de menthe, de la mélisse, ainsi que des fleurs. Certaines plantes seront testées au jardin cette année comme le radis serpent, les cornichons verts de Meaux ou encore plusieurs variétés de courgette.

Enfin, être le plus autonome possible en nourriture est un élément essentiel dans ma façon de concevoir mon jardin et ma façon de vivre.  J’essaie de dépendre le moins possible de la société de consommation. Par exemple, j’utilise un outil mécanique manuel du 19ème siècle qui ne nécessite pas d’électricité : le hache-paille. Cet outil était utilisé pour hacher la nourriture pour les animaux d’élevage. Maintenant je l’utilise dans mon jardin sans exploitation animale, une nouvelle vie pour cet outil !

Ce printemps avait bien commencé, mais c’était sans compter les gelées allant jusqu’à moins 3 degrés ! Le matin était silencieux, le jardin semblait figé. Les plantes sont étonnantes ; couchées sur le sol prises par le gel, elles se remettent dans la matinée. De l’inattendu à l’extraordinaire, mon jardin m’émerveille chaque jour.

BLOG DU JARDIN AVEC PLUS DE PHOTOS

http://monjardinvegan.revolublog.com/

J’organise en juillet des visites guidées (gratuites) du jardin pour adultes. Les dates sont le 8/07, le 16/07, le 22/07 et le 30/07.

Les visites se font par petits groupes de maximum 6 personnes.

Il y aura des informations sur ma pratique et ma technique de jardinage, sur le monde du jardinage aujourd’hui, sur notre environnement (faune et flore), …

L’après-midi, pique nique végétarien/vegan sur l’herbe, don de semences du jardin, dans un cadre paisible à la campagne et dans la convivialité.

Au plaisir de vous rencontrer !

 

POUR TOUTE INFORMATION ET/OU INSCRIPTION, UTILISEZ LE FORMULAIRE « CONTACT » DU BLOG :

http://monjardinvegan.revolublog.com/contact

 

Projection d’Earthlings à l’ULB ce 19 mai

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Earthlings est un film documentaire américain de Shaun Monson sorti en 2005, et dont la réalisation a nécessité cinq années de travail et d’investigations (dû à l’énorme difficulté d’obtenir des images dans ces domaines). Il montre le traitement des animaux destinés à la nourriture, à l’habillement, aux divertissements et aux recherches scientifiques.

Réalisation et production: Shaun Monson
Narration: Joaquin Phoenix
Musique: Moby

Salle Delvaux – ULB – Campus du Solbosch
(bâtiment F1 – 20 avenue Paul Héger)
1050 Ixelles
https://www.ulb.ac.be/campus/solbosch/plan.html

Vendredi 19 mai 2017
Ouverture du bar 18h-19h et 21h-22.30h
Projection: 19h- 21h
Entrée gratuite

Végétik n’est pas l’organisateur de cet évènement

Végétik Liège participe au salon du volontariat le 20 mai

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Végétik Liège participe au salon du volontariat le 20 mai , si vous voulez devenir bénévole n’hésitez pas à venir rencontrer notre équipe de choc.

100% Veggie – seconde édition le 21 mai à Charleroi

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Le 21 mai prochain aura lieu la seconde édition de « 100% Veggie » organisé par 100% Veggie.

100 % Veggie est un salon qui vous invite à (re)découvrir le mode de vie végane à travers:
– stands de sensibilisation à la cause animale,
– une alimentation variée et délicieuse (repas chauds et froids)
– conférence, dédicaces, vêtements, cosmétiques, hygiènes, bien-être…

L’événement se déroulera à Charleroi, « chez Raoul » rue de la Vilette (derrière la gare de Charleroi Sud), le dimanche 21 mai de 10h00 à 19h00. L’entrée est gratuite.

Venez nombreux !

 

We Feed the world

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https://vimeo.com/213216135

Chaque jour à Vienne, la quantité de pain inutilisée, et vouée à la destruction, pourrait nourrir la seconde plus grande ville d’Autriche, Graz… Environ 350 000 hectares de terres agricoles, essentiellement en Amérique latine, sont employés à la culture du soja destiné à la nourriture du cheptel des pays européens alors que près d’un quart de la population de ces pays souffre de malnutrition chronique. Chaque Européen consomme annuellement 10 kilogrammes de légumes verts, irrigués artificiellement dans le Sud de l’Espagne, et dont la culture provoque des pénuries d’eau locales…

Notre pain quotidien

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https://vimeo.com/213216165

Pendant deux ans, Nikolaus Geyrhalter a placé sa caméra au coeur des plus grands groupes européens agricoles, nous donnant accès des zones inaccessibles. Il a filmé les employés, les lieux et les différents processus de production pour réaliser un documentaire cinéma qui interroge et implique intimement chaque spectateur.
Notre pain quotidien ouvre une fenêtre sur l’industrie alimentaire de nos civilisations occidentales modernes. Réponse à notre sur-consommmation, la productivité nous a éloigné d’une réalité humaine pour entrer dans une démesure ultra-intensive qui a rejoint les descriptions des romans d’anticipation.
Cadrages minutieusement composés, images cristallines, montage fluide construisent un film sans commentaire, sans propagande, dont les images parlent et demeurent.
Notre Pain Quotidien questionne, inquiète et fascine.