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Marché végane à Namur le 14 Mai

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Le dimanche 14 mai aura lieu la première édition du marché 100% vegan de Namur !

Rendez-vous à partir de 10h30 à la Renardière de Wépion (place du Vierly) pour découvrir et vivre une journée autour du véganisme.

Plusieurs exposants et acteurs belges seront présents, autour de l’alimentation, de l’habillement, des cosmétiques, de la protection animale, ou tout simplement de la philosophie et du mode de vie vegan, pour vous faire vibrer, découvrir et profiter tout simplement !

Les exposants vous seront dévoilés petit à petit, pour faire monter le suspense 😉 Et selon les disponibilités, seront peut-être prévus différentes petites conférences et/ou ateliers. Stay tuned !

Les bénéfices de cette journée (bar) seront reversés à une ASBL de protection animale qui sera choisie dans les prochaines semaines.

EXPOSANTS CONFIRMES (d’autres à venir !) :

-Végétik
VEGGi (épicerie végane de Wépion)
GreenMeow (e-shop belge de cosmétiques)
Goveg vegan shop (épicerie, habillement et chaussures)
– Maison Gaja (maroquinerie vegane)
Animaux en Péril asbl (refuge)
Sarah’s vegan bakery (pâtisseries)
– Scones irlandais
Love is about food.
Icy V
Bite Back
TBR Artisan Barbier
INNI (objets faits mains vendus au profit des chats)
Le Rêve d’Aby
Ayda

CONFERENCES/ATELIERS (heures à confirmer)
Conférence n°1 par Love is about food. (env. 50min)
► « Etre vegan et sportif ? En abordant deux types de sportif, celui qui est plus dans l’effort de type cardio (running, vélo, hiit..) qui a donc besoin de combler ses dépenses énergétiques importantes mais celui qui va vouloir se muscler, donc prendre en masser et s’assurer d’un bon taux de protéines. Mais aussi : le vegan actif (le chef d’entreprise, le parent, l’adolescent en plein examen..) Comment s’assurer de contrôler ses besoins nutritifs quand on a pas le temps? Que rajouter dans son alimentation? Comment protéger sa concentration?  »

Conférence n°2 par Le Rêve d’Aby (env. 50min)
► Le thème de la conférence sera défini ultérieurement

Vous souhaitez exposer ? hello@veggi.be pour toutes les infos 😉

Le mythe de la viande est mort: Les protéines végétales sont aussi performantes que les protéines animales

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Une étude publiée la semaine dernière dans l’American Journal of Clinical Nutrition a constaté que les protéines alimentaires provenant de sources végétales avaient le pouvoir de générer du muscle aussi bien que les protéines provenant de sources animales. Cependant la viande contient des substances qui sont nocives pour notre santé, les résidus d’antibiotiques, les hormones, les graisses saturées, les graisses trans, les endotoxines, le cholestérol, les amines hétérocycliques et des contaminants tels que des niveaux élevés de métaux dont le cuivre et l’arsenic. Ces éléments indésirables augmentent l’inflammation et peuvent favoriser diverses maladies faisant de la viande une option moins souhaitable lorsque le renforcement musculaire et la santé à long terme sont considérés.

De 2002 à 2005, les chercheurs de l’Institut hébreu « Aging Research » et de l’Université du Massachusetts ont observé la masse musculaire, la force, et la densité osseuse de 3000 participants en lien avec les habitudes alimentaires, les personnes observées étaient âgées de 17 à 72 ans. Ils ont constaté qu’un bon apport en protéines conduit à une meilleure santé musculaire et squelettique, cependant la source de protéine n’est pas importante, qu’elle soit végétale ou animale c’est sans importance. «Nous savons que les protéines alimentaires peuvent améliorer la masse musculaire et la force » , a déclaré le chercheur principal, le Dr Kelsey M. Mangano. « Cependant, jusqu’à présent, nous ne savions pas si une source de protéines alimentaires était meilleure qu’une autre au niveau des performances. »

La nouvelle étude publiée le 8 février, 2017 a confirmé qu’il n’y avait pas de différences au niveau de la masse musculaire, si l’on se réfère aux habitudes alimentaires des gens, ceux qui mangent une part importante de légumineuses ont un développement musculaire identique à ceux qui mangent de la viande rouge.

Lien vers l’étude publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition http://ajcn.nutrition.org/content/early/2017/02/07/ajcn.116.136762.abstract?sid=187de680-e319-4d4d-8179-da6ab0835359

Végétik vient de mettre en ligne un site rival au site d’information sur les viandes de la filière du même nom

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Le président de Végétik est passé au journal de 13h, il a expliqué les raisons pour lesquelles nous avons créé un site rival à celui de la filière viande. Ces raisons sont reprises dans ce communiqué.

« C’est la troisième fois que le ministère de l’Agriculture wallonne s’en prend aux campagnes destinées à inciter les Belges à diminuer leur consommation de viande. En 2015, c’était le ministre Borsus à l’occasion de la journée internationale sans viande qui avait publié un communiqué de presse contenant 8 arguments cherchant à démontrer qu’il n’y avait aucun problème de surconsommation de viande chez nous. Nous avions à l’époque repris point par point ses arguments et pour ce faire nous avions utilisé des sources sérieuses telles que le rapport de la FAO « Livestock’s long shadow » et des avis de l’OMS.

Nous nous étonnons d’ailleurs que le ministère de la Santé ne réagisse pas à ce genre de sortie médiatique. En effet, le Plan National Nutrition Santé ( PNNS) conseille aux citoyens de manger plus de fruits et de légumes, un avis consécutif à une grande enquête sur nos comportements alimentaires.
L’année dernière la campagne « 40 jours sans viande » qui se déroulait en Flandre, a de nouveau été critiquée par le ministre Collin, lors d’une intervention au parlement wallon. Il traita les initiateurs de cette campagne bien inoffensive de « gourous ».

Au même moment, au nord du pays les 4 présidents des principaux partis flamands s’étaient personnellement engagés à ne plus manger de viande pendant cette période, peut-être s’étaient-ils laissés fascinés par la jeune « gourou » hollandaise à l’initiative de ce projet.

Pour répliquer à ce qu’il appelle de la « désinformation », son cabinet décida alors de créer un site web d’information sur la viande. Son contenu propose une image orientée (on nage bien entendu en plein conflit d’intérêts) de l’agriculture wallonne. Si vous vous rendez sur ce site, on vous explique que l’agriculture wallonne est différente, qu’elle respecte l’environnement et les animaux et que ses produits peuvent être consommés tout au long de l’année en fermant les yeux. Peut-être un miracle local a-t-il permis que nos produits animaux ne contiennent aucune graisse saturée, aucun cholestérol et qu’ils soient riches en fibres contrairement aux mauvais produits flamands.
Une agriculture wallonne indemne des dérives productivistes constatées dans tous les pays qui lui sont limitrophes, vous y croyez ? Les étudiants de nos facultés des sciences agronomiques entendent un autre son de cloche. Là, on s’enorgueillit de l’efficience productiviste de nos systèmes et du génie de nos zootechniciens, les mêmes qui ont créé la race Blanc Bleu Belge. Ce sont là, deux discours assez différents.

Cette année de nouveau, le ministre s’en prend aux 40 jours sans viande et cette fois il organise un sabotage de cet événement en copiant le concept et en le transformant en 40 jours de soutien aux agriculteurs.

Nous sommes certains que le ministre comprendra que notre site parodiant le site de la filière viande est une façon pour nous de répondre de façon humoristique aux campagnes de dénigrement répétées et orchestrées par la filière viande. Après tout, nous jouons au même jeu qu’eux, seulement nous avons l’élégance de ne pas jeter l’opprobre sur nos adversaires. Nous sommes surpris qu’il utilise des termes comme « dangereux », « extrême » pour qualifier une campagne qui ne fait finalement que reprendre les recommandations de l’Eglise pendant des siècles.
Les gens qui connaissent l’histoire savent que le carême a toujours été une période durant laquelle les croyants cessaient de manger de la viande et le mot carnaval provient du latin « carne » et « levare», ce qui signifie littéralement « enlever la viande ». Ce que nous vous encourageons à faire pour votre santé , la planète et les animaux. »
Découvrez notre site d’information sur la viande ici http://www.celluleinfosviande.be/

Destruction de la biodiversité

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Le rapport 2016 de « Planète vivante » réalisé par quelques ONG dont le WWF est effrayant. Il cherche à faire l’état de la biodiversité avec des chiffres actualisés. Constat : nous avons perdu 50% des animaux sauvages en 40 ans avec des prévisions  cauchemardesques pour 2020. A cette date, 2/3 des animaux auront disparu. Au moment où j’écris ces mots, The United States Fish and Wildlife Service vient d’officiellement classer les abeilles comme espèce en voie de disparition.

yttytyuyuyuyuyuOr, pour les 5 causes reconnues de la perte de biodiversité, on retrouve l’élevage en bonne place. Voyons ce qu’il en est.

1 : Modification des habitats

L’élevage est une des principales causes de changements des habitats (déforestation, destruction des forêts riveraines, drainage des zones humides), que ce soit pour le bétail directement ou pour la production d’aliments pour ce dernier. Les activités d’élevage contribuent également directement par le surpâturage et la désertification.

2 : Changement climatique

On ne développera pas ce point qui a été abordé plus haut. Le changement climatique va changer considérablement les milieux naturels et on en connaît les conséquences pour la faune.

3 : Invasions biologiques

La contribution du secteur de l’élevage aux invasions biologiques va bien au-delà de la simple introduction dans le milieu d’espèces animales destinées au bétail. Il faut également considérer les impacts indirects comme le fait que l’élevage joue un rôle majeur dans la modification des habitats qui favorisent les invasions biologiques ; ou encore le fait que des éleveurs ont intentionnellement implanté des espèces de plantes pour améliorer les pâturages. Enfin, les animaux favorisent également directement la propagation des espèces envahissantes qui vont se fixer sur eux (zoochorie) et se répandre au cours de leur trajet (transhumance par exemple).

4 : Surexploitation des ressources

Les conflits entre les éleveurs et la faune sauvage existent depuis la domestication du bétail, notamment à cause de deux phénomènes : les interactions entre la faune sauvage et la faune domestique, et la compétition pour l’accès à la nourriture et à l’eau.

5 : Pollution :

Ce point a déjà été évoqué  et est lié aux déjections de 70 milliards d’animaux d’élevage.

Couper ses fruits et légumes (vidéos)

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Présentation de livres de recettes (vidéos)

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Lait mensonge et vérité

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Le lait mensonges et vérités Arte 2017 01 10 20 50 from Jeanpur Groseille on Vimeo.

Le lait, ami ou poison ? Indispensables à une alimentation équilibrée et source de nombreux nutriments pour les uns, associés au développement de maladies pour les autres, les produits laitiers suscitent aujourd’hui une vive controverse. Enquête sur le lait et ses dérivés, sujet qui déchaîne aujourd’hui les passions.

Le lait est-il vraiment aussi sain que le prétendent ses défenseurs ? Depuis plusieurs années, le débat fait rage chez les nutritionnistes, les professionnels de la santé ou les industriels du secteur agroalimentaire. Indispensables à une alimentation équilibrée et source de nombreux nutriments pour les uns, associés au développement de maladies pour les autres, les produits laitiers suscitent aujourd’hui une vive controverse. L’industrie laitière, bien entendu, ne cesse de vanter leurs vertus et ils figurent au menu de tous les programmes de nutrition mais, parallèlement, ils sont de plus en plus critiqués.

Vertus ou dangers

Certains scientifiques et médecins s’appuient sur les résultats d’études récentes et sur le cas de patients pour démontrer que le lait joue un rôle dans l’apparition de nombreuses pathologies, telles que les allergies ou le diabète. Dans ce contexte, difficile pour le consommateur d’y voir clair. Le lait et ses dérivés peuvent-ils réellement rendre malade ou faut-il continuer de les consommer régulièrement ? En Allemagne, en France et dans d’autres pays européens, ce documentaire part à la rencontre de scientifiques, médecins, producteurs et représentants du secteur laitier pour tenter d’apporter des réponses.

Vivre vegan, le nouvel eden

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Vivre vegan – le nouvel eden Arte 2017 01 10 22 00 from Jeanpur Groseille on Vimeo.

Manger équilibré et se régaler en ne consommant aucun produit d’origine animale (pas de viande, de poisson, ni de crustacés, pas non plus de produits laitiers, d’oeufs ou de miel), c’est possible ! Une passionnante enquête sur le mode de vie « vegan », entre convictions éthiques et parts de marché.

Manger équilibré et se régaler en ne consommant aucun produit d’origine animale – pas de viande, de poisson, ni de crustacés, pas non plus de produits laitiers, d’œufs ou de miel –, c’est possible ! Le véganisme, avatar absolu du végétarisme qui exclut tous les produits de l’exploitation des animaux par l’homme, a encore mauvaise presse en France. Mais, en s’affranchissant de son étiquette austère ou insipide, ce mode de vie gagne en popularité au sein d’une jeunesse urbaine et engagée, aux convictions écologistes plus ou moins radicales. Restaurants gourmets au cœur de Paris, qui réinventent avec talent la nouvelle cuisine, supermarchés vegan investissant les villes allemandes, célébrités et blogueurs diffusant sur Internet leurs recettes cruelty-free (« garanties sans cruauté ») les plus gourmandes, à base de légumineuses, de seitan ou de laits végétaux… Un filon potentiel qu’ont su flairer les industriels, entrepreneurs et chercheurs en agroalimentaire.

Révolution alimentaire

Aux États-Unis, où la tendance a pris son essor depuis quelques années, le marché des aliments végétaux de substitution pèse déjà plusieurs milliards de dollars. Les laboratoires lancent régulièrement de nouvelles innovations – à base de soja ou de miraculeuses protéines de lupin – destinées à remplacer ou imiter la viande, le fromage ou les œufs. Mais ces produits végétaro-industriels sont-ils aussi écolos et sains qu’ils en ont l’air ? Face au scandale que représentent les conditions d’élevage industriel, le véganisme sera-t-il la révolution alimentaire du XXIe siècle ? En omnivore convaincu, le réalisateur John Kantara s’est plongé dans ce monde encore mal connu. Au fil de ses dégustations, il a perdu quelques certitudes…